2021
Comité d’appui au développement de la coopération institutionnelle du 26 mars 2021
Cette session du Comité introduite par Madame Christine AVELIN, Directrice générale de FranceAgriMer était présidée par Monsieur Jean-Luc ANGOT, Président de la section internationale du CGAAER.
La réunion a permis de valider le règlement intérieur du Comité. Le document établissant sa gouvernance a été diffusé.
Les équipes de FranceAgriMer ont présenté le bilan 2020 de leurs activités de coopération. Au total, 17 projets d’assistance technique sont en cours, dont 9 sont actifs, et 4 jumelages sont en cours et actifs. 11 autres projets sont en phase de veille. 1070 jours d’expertise française à l’international ont été mobilisés en 2020, pour un volume d’engagement juridique de près de 900 000 EUR et un volume d’encaissement de plus de 1 725 000 EUR.
Suite à l’appel à projets lancé en janvier d’une enveloppe de 50 000 EUR financée sur les reliquats de jumelage, 11 projets prévus sur l’année 2021 ont été retenus et présentés par leurs porteurs de projets, institutionnels ou professionnels : Institut français du cheval et de l’équitation (IFCE, 1 projet), Institut de l’Élevage (IDELE, 2 projets), FranceAgriMer (3 projets), l’École nationale des services vétérinaires-France Vétérinaire International (ENSV-FVI, 3 projets).
Des projets de coopération institutionnelle menés par deux organisations professionnelles ont été présentés : un projet mené par la FEVS dans le cadre d’une coopération avec les autorités publiques en Indonésie, au Vietnam et au Cambodge sur le thème de la fiscalité ; un projet porté par ALLICE sur le développement de la filière bovins allaitants en Mongolie intérieure (Chine).
FranceAgriMer a présenté un retour d’expérience sur l’adaptation des missions à distance du fait de la crise sanitaire, pour un certain nombre des projets actifs en 2020, assorti du témoignage d'experts. Ce retour d’expérience a permis de mettre en avant les avantages et les inconvénients. Les participants se sont montrés intéressés par la mise en place d’un groupe de travail pour étudier les modalités d’un mode de coopération combinant expertise à distance et présence sur le terrain.
Le Comité a été l’occasion d’échanges riches entre la quarantaine de participants connectés. Ce moment de partage d’information a permis d’évoquer la possibilité d’étudier des synergies entre les participants dans la mise en place des projets de coopération à venir. A également été soulevée l’idée d’une stratégie globale de coordination des acteurs de la coopération, permettant la mise en place et le partage des réseaux locaux permettant d’être plus opérationnel en matière de politique d’influence institutionnelle et normative.